Graveur médaillier

Ferdinand de Saint-Urbain, né à Nancy en 1654 ou 1658 et mort dans cette même ville le 10 janvier 1738, est un dessinateur, graveur et architecte lorrain ayant œuvré à Rome, à Nancy et ayant travaillé pour d'autres princes des cours d'Europe

Sculpteur animalier, peintre, graveur sur médailles et céramiste, il est né à Ajaccio en 1865 et décède à Montigny sur Loing en 1946. 
Très jeune , il rejoint la Lorraine, berceau de sa famille, lorsque son père décède prématurément.
Il entre à l’Ecole des Beaux Arts de Nancy en 1883 et se lie d’amitié avec Jacques Grüber, Mathias Schiff, Louis Majorelle, Emile Friant. En 1885, il est reçu à l’Ecole des Arts Décoratifs de Paris.

Sculpteur, graveur, médailleur, il est né à Nancy en 1883. Il fut élève de Jules-Clément Chaplain et de Marius Jean Mercié.
Il exposa à Paris, au Salon des Artistes Français à partir de 1905 dont il fut Membre Sociétaire hors-concours ; il obtint une Médaille d'or en 1926.

Bibl.  :  "Bénézit 1999 T.12"

Graveur en médailles et sculpteur, né à Sarreguemines en 1746, il meurt à Paris en 1821.
Il figura au Salon de Paris de 1787 à 1817 et travailla à la décoration de la colonne Vendôme. On connait de lui des oeuvres au Cabinet des médailles de Berlin, au musée Carnavalet avec une série de médaillons en terre cuite, au musée de Valenciennes avec quatre petits bas-relliefs et au musée de Versailles avec la statue d' Auguste Colbert, général de brigade et celle de La Touche Tréville, vice-amiral.

Bibl.  :  "Bénézit 1976 T.8"

Sculpteur et graveur de médailles né à Neufchateau (88) en 1879 et mort à Paris en 1967. Sociétaire du Salon des Artistes Français où en 1914 il expose un buste en bronze "Portrait de docteur Vermersch" ; auteur de nombreuses plaquettes et médailles. On cite ses bustes de personnalités du monde médical. Il fut aussi médecin, mais plus connu pour ses activités de prestigiditateur.

Bibl.  :  "Wikipédia.org"
             Bénézit 1999   T. 4

Sculpteur et graveur en médailles français, né à Bar sur Ornain (Meuse) le 13 juin 1787, décédé à Paris en 1859. 
Caunois suit l’enseignement de Claude Dejoux à l'Ecole des Beaux-Arts où il entre en 1813 et remporte la même année le deuxième prix de gravure en médaille (Thésée relève la pierre sous laquelle son père avait caché ses armes).