L’activité de la Faïencerie de Sarreguemines débute en 1790. Nicolas-Henri Jacobi et deux autres associés installent la première manufacture. Toutefois, la conjoncture n’est guère favorable. Jacobi achète alors un moulin à huile qu’il transforme en moulin de cailloutage situé en bord de rivière, mais sa bonne volonté ne suffit pas : les difficultés d’approvisionnement en matières premières, l’hostilité et la méfiance des habitants, la concurrence des manufactures anglaises et françaises et les troubles de la Révolution poussent Jacobi à céder la place.
Nous ne connaissons cet artiste sculpteur que par :
On trouve dans l'ouvrage de Marius MUTELET "Metz en 64 images" publié en 1951 une autre biographie de l'artiste qui a participé à l'illustration de ce recueil.:
De cette artiste nous ne connaissons aucun élémént biographique.
On sait seulement qu'elle fut élève de Costa et de Cassioli et qu'elle demeurait à Reims en 1895.
Elle a exposé des portraits nancéiens au Salon de 1895.
Nul n’est prophète en son pays. Patricia-Lysiane Beck est bien placée pour le savoir. Ce week-end, dans le cadre d’Art. Metz, cette Sarregueminoise effectue une de ses rares expositions dans la région : « Je suis dans des galeries à Paris, La Baule ou Arcachon. A chaque fois, je n’ai sollicité personne. On est venu me chercher. Ce qu’aucun professionnel de la région n’a jamais fait. » Dommage. A Paris, la cote de celle qui peint des instants de vie a pris une autre dimension. « Quand la galeriste m’a donné les prix qu’elle avait fixés, je me suis dit que rien ne se vendrait.
Graveur en médailles et sculpteur, né à Sarreguemines en 1746, il meurt à Paris en 1821.
Il figura au Salon de Paris de 1787 à 1817 et travailla à la décoration de la colonne Vendôme. On connait de lui des oeuvres au Cabinet des médailles de Berlin, au musée Carnavalet avec une série de médaillons en terre cuite, au musée de Valenciennes avec quatre petits bas-relliefs et au musée de Versailles avec la statue d' Auguste Colbert, général de brigade et celle de La Touche Tréville, vice-amiral.
Peintre, graveur, né à Sarreguemines (57) en 1830, il décède vers 1920. Il fut élève de Best, Hotelin, Régnier et Feyen-Perrin. Il collabora comme graveur sur bois à un grand nombre de journaux illustrés. Il figura rarement au Salon et eut une Troisième Médaille en 1875.Il publia, chaque année, entre 1856 et 1876 un Album de bois représentant les meilleurs tableaux au Salon. Il se spécialisa aussi dans les dessins au fusain.