Graveur

Jean-Antoine Cholet, « peintre de portraits, de paysages, dessinateur, graveur, peintre sur faïence » est né à Rosières-aux-Salines le 1° janvier 1833 et mort à Paris en 1906. Son père, tisserand et précédemment ancien sous-officier au bataillon de la garde Nationale de Rosières-aux-Salines, d’origine vosgienne (Rambervillers), épouse une vigneronne de Rosières, Elisabeth Berné. La famille semble avoir résidé rue Léon Bocheron (à l'époque, la grand Rue). Adolescent, Antoine étudie les beaux-arts à l’Ecole municipale de dessin de Nancy. Il réalise ses premières lithographies dès 20 ans.

Peintre, architecte et graveur, né à Haraucourt (54) en 1699. Elève de Barilly, Claude Charles et Fr. Bibiena, il travailla, d’abord pour le Prince Charles de Lorraine et, plus tard, fut attaché à la Cour de l’Empereur d’Autriche François Ier.
Il était Membre de l'Académie de peinture et de sculpture fondée à Nancy par le Duc Léopold.
Il meurt à Vienne en 1768. 
Le Musée de l'Hermitage à Saint Petersbourg conserve un dessin de lui.
On connait de lui une salle dans le château de Vrécourt et plusieurs oeuvres à Florence.

Graveur né à Nancy vers 1609 et meurt en 1657 à Rome. Il se perfectionna dans l’atelier de J. Callot. Il a travaillé à Rome en 1640 et y faisait en même temps le commerce des estampes.  Il imita Stefano della Bella  et surtout son maître Callot. Etant venu à Paris, il y demeura plusieurs années et il y a gravé vers 1643 la bataille de Rocroy en quatre grandes feuilles sur les dessins de Stefano della Bella.Il partit ensuite pour Rome où il s'établit graveur, éditeur et marchand d'estampes.

 Peintre, graveur, illustrateur, il est né à La Verrerie de Portieux en 1895, il décède à Arcueil en 1948. Fils de Marie Félix Claudel et de Marie-Julie Colin, il commence très jeune le dur métier de verrier pour devenir bientôt graveur sur verre à l'usine de Portieux. Contre l'avis de ses parents, il s'engage au 26e Régiment d'Infanterie avec lequel il commence la guerre, en 1914, pour la terminer dans l'aviation, au Maroc.

Peintre, graveur et architecte né à Nancy. Diplôme de gravure de l'Ecole Nationale des Beaux-Arts de Nancy en 1965 (C.A.F.A.S. en 1963)
 1965-1967 : Études de design à l'Athéneum de Helsinki (Finlande)
 1966-1967 : Collabore au bureau d' études Architecture et design d' Alvar Aalto à Helsinki
 Création de l' atelier pour le design et le graphisme “Formes et Fonctions” à Nancy en 1968
 1968-1969 Commissaire général de l'exposition “Eurodesign” à Nancy sous la présidence de Jean Prouvé.

Aquarelliste et lithographe, il était architecte de la ville de Nancy (gare de Nancy notamment). Il figura au Salon de Nancy à partir de 1833, présentant à chaque fois jusqu’à 18 aquarelles ou dessins, la plupart évoquant des sites lorrains. Il voyagea aussi beaucoup à travers la France et en Allemagne et en rapporta de nombreux dessins qu’il lithographia par la suite

Bibl.  :  Harcos "Peintres et graveurs lorrains"

Peintre et graveur, né à Nancy en 1593, mort en 1635, était le onzième enfant de Jean Callot, premier héraut d'armes de Lorraine. A huit ans, Jacques Callot dessinait et coloriait des armoiries sous les yeux de son père. Un beau jour, le désir de voir l'Italie, dont on lui parlait tant, le saisit au cœur; il part, avec ses douze ans.

Peintre, graveur, né à Sarreguemines (57) en 1830, il décède vers 1920. Il fut élève de Best, Hotelin, Régnier et Feyen-Perrin. Il collabora comme graveur sur bois à un grand nombre de journaux illustrés. Il figura rarement au Salon et eut une Troisième Médaille en 1875.Il publia, chaque année, entre 1856 et 1876 un Album de bois représentant les meilleurs tableaux au Salon. Il se spécialisa aussi dans les dessins au fusain.

Bibl.  :  "Wikipédia.org"
              Bénézit 1999   T. 2

Peintre et graveur né à Nancy en 1904, cet artiste d’un modernisme lucide qui ne fait pas fi des principes traditionnels, exécuta en 1938 une fresque à Rio de Janeiro. Mobilisé en 1939, prisonnier de guerre, il comptait à l’atelier du Stalag VII avec Humblot, Grove, Arretche, Volti et Boulnois de Chelles. Libéré, il collabora avec ses compagnons de captivité, le peintre Boulnois de Chelles et le statuaire Volti à la décoration du centre de rapatriement d’Hirson.
Il décède en 1982

Bibl.  :  "Bénézit 1999 T2"