M’interrogeant dès mon plus jeune âge dans l’effervescence et la réflexion sur ce qui m’entoure, j’ai tout naturellement pris le premier outil qui se trouvait dans ma chambre, c’est – à – dire un crayon et j’ai dessiné le milieu ambiant auquel j’étais confronté : des meubles, des livres etc… Depuis je continue à pratiquer cet exercice à l’instar d’un musicien qui fait ses gammes, chez moi, en extérieur, dans la rue, les bars, les concerts, avec rigueur sans occulter l'instinct. De cette période intense, j’ai étudié l'histoire de l'art.
Peintre, il est né en 1928 à Montigny les Metz. Jean Rustin est le cadet d’une famille de cinq enfants. En 1939, sa famille se réfugie dans le Berry, puis à Poitiers, où il commence ses études secondaires, apprend le violon et entre à l’école des beaux-arts.
En 1944, il regagne Metz, passe son bac et peint ses premières toiles.
Il vient à Paris en 1947, à l’âge de 19 ans. Il y fait ses études, entre 1947 et 1953, aux Beaux-Arts, dans l'atelier de Maurice Brianchon.
Peintre de fleurs née à Montigny les Metz (57) en 1853, elle décède à Paris en 1901. Elève de son frère Léon Barillot, de Jules Lefebvre et de Benjamin Constant, elle exposa à peu prés régulièrement au Salon de Paris depuis 1878. Ainsi en 1898 elle présente deux huiles "Giroflées roses et blanches" et "Anémones"
Après son décés en décembre 1901, le Bulletin des Sociétés Artistiques de l'Est publiait dans son numéro de janvier1902 ce petit article :