Peintre

Didier BARRA (v. 1590, Metz - v. 1656, Naples) est un peintre lorrain du XVIIe siècle. Il fut principalement actif en Italie.

Eska KAYSER, née à Nancy en 1936, est une peintre française.

En 1951 Eska Kayser suit, après ses heures d'études au lycée, les cours du soir de l'école des beaux-arts, où ses professeurs sont Ageorges, Jean-Pierre Couture (père de CharlÉlie Couture) et Cuvelier. Elle fréquente ensuite l'École des Beaux-Arts de Paris mais aussi le Louvre, les cours d'André Chastel à la Sorbonne et les galeries de Saint-Germain-des-Prés  .

Nous ne connaissons actuellement aucune information biographique concernant cette artiste du XXème siècle native de Lorraine.

Toute aide pour créer cette biographie sera la bienvenue.

Plutôt que de parler de sa vie, il convient d’évoquer ses vies. Celles agenaises ont doublement été marquées par le rugby, puis la peinture.

Né en 1935 à Guénange, petit village Lorrain de l’Est de la France, le jeune Gérard grandit à la campagne. A l’adolescence le garçon est recueilli par ses grands-parents après le décès brutal de sa mère et un père absent.

Contemplatif de la beauté de la nature, l'artiste en herbe voue très tôt une passion pour le dessin.

Comme son oncle, c'est dans le domaine de la Coiffure féminine, que le jeune Gérard débute sa carrière professionnelle fulgurante, le propulsant au sommet des grands concours internationaux de Haute Coiffure pour dames.

Nous ne connaissons aucun élément biographique concernant cette artiste contemporaine qui demeure et travaille à Thiaville sur Meurthe.

On sait seulement que son patronyme est Anne-Marie PERRY

Toute aide pour créer cette biographie sera la bienvenue.

On sait peu de choses sur le peintre Jules Schneider, natif de Champigneulles (Meurthe-et-Moselle). Seul un avis de décès nous informe qu’il meurt le 20 novembre 1920 dans sa maison 37, rue Hermite. Il était un ancien élève de l’École nationale des Beaux-Arts et de l’École nationale des Arts Décoratifs.

Le père de Marguerite Liouville, receveur de l'enregistrement, déplace sa famille en fonction de ses nominations successives. Marguerite fait des études à l'école des beaux-arts de Nancy. Le 8 décembre 1898, elle épouse un jeune confrère de son père, Louis Le Bondidier, lui aussi receveur de l'enregistrement et comme elle d'origine lorraine (natif de Charny sur Meuse). Installés à Verdun, ils ont un fils, Yves, qui meurt le 24 mai 1900. Le 13 juillet 1901, Louis Le Bondidier est nommé à Campan (Hautes-Pyrénées). Il est alors décidé à y rester le moins longtemps possible.