Pastelliste

Mélanie PAIGNÉ

(1817 - 1872)
Mélanie PAIGNÉ  "Iris, roses, églantines"

Peintre de portraits, de fleurs, paysagiste et pastelliste, née à Metz en 1817 et décédée dans la même ville en 1872.
Elève de Maréchal, elle exposa, de 1845 à 1866, quelques portraits et des sujets de fleurs, généralement au pastel. Elleobtint une Mention Honorable au Salon parisien de 1857, une Médaille de 1ère Classe à Metz en 1861. Elle demeurait rue du Rempart-Serpenoise de cette ville.
Le musée de Metz possède de cette artiste trois pastels : Bouquet de fleurs, Paysage et Portrait d'Erasme d'après Holbein.

Marie-Octavie PAIGNÉ-STUREL

(1819 - 1854)
Marie Octavie PAIGNE-STUREL  "Vase de fleurs"

Peintre, Marie Octavie Paigné est née le 7 mai 1819 à Metz . Elle est   fille de Jacques Paigné, capitaine de la garde impériale à la retraite,  , et de Catherine Munier, née à Jouy-aux-Arches.

Charles-Laurent MARÉCHAL

(1801 - 1887)
Laurent Charles MARÉCHAL

Dessinateur, pastelliste et peintre verrier, il est né à Metz en 1801 et décède à Bar le Duc en 1887.  

Intéressé par l'art, le jeune Laurent-Charles suit les cours de l’école municipale de dessin, de 1820 à 1825.   Fasciné par l'Italie, Laurent-Charles Maréchal vouera une admiration sans limite à la peinture italienne, et l'Italie, qu'il considère comme la patrie des artistes.

Hélène MARÉCHAL

(1863 - 1944)
Hélène MARECHAL

Pastelliste, elle est née à Metz en 1863 de Charles Raphaël Maréchal son père (artiste peintre) et de Madame Kayané Eram Eramian. Elève de son grand-père Maréchal de Metz, d'Allongé et de Cagniard. Bien qu'elle vécut à Paris, elle figura au Salon de Nancy ; à partir de 1894, on trouve trace de ses envois qui se sont poursuivis jusqu'en 1912.(Elle exposa probablement avant 1894).

Raoul MEIXMORON (de)

(1869 - 1928)

Peintre, Raoul de Meixmoron de Dombasle est né à Nancy en 1869 et meurt à Paris en 1928. Fils ainé de Charles de Meixmoron, peintre. Il débuta au Salon de Nancy en 1890 avec deux paysages et des études ; il poursuivit régulièrement ses envois. En 1901, il exposa à Charleville ; il s'était fixé dans les Ardennes au Chateau de Landreville où la quasi-totalité de ses oeuvres fut détruite pendant la Guerre de 1914-1918.

Bibl.  :  Harcos  "Peintres et graveurs lorrains".

Jean-François HONNÊTE

(1733 - 1793)

Fils de Georges Honnête, marchand mercier, Jean-François, artiste autodidacte, s'installe à Francfort en 1762, où il se marrie et devient citoyen. Sa réputation s'établit pour la ressemblance et le fini de ses portraits, avec des oeuvres réalisées tant à Francfort qu'à Mayence (certains biographes le nomment Johann Franz Honnete). Il quitte l'Allemagne avec sa famille pour Bruxelles en 1782, puis gagne la Hollande, et retourne à Francfort en 1790, où il semble qu'il soit décédé en 1793.

 

Bibl.  :  "Bénézit 1999   T. 7"

Louise HURLIN

(1891 - 1949)

Pastelliste, née à Metz en 1891, elle décède à Nancy en 1949. Sans avoir exposé, elle a laissé de nombreux pastels de petites dimensions : des paysages et des fleurs de facture impressionniste.

Bibl.  :  Harcos "Peintres et graveurs lorrains"

Charles-Alexis HUIN

(1735 - 1796)
Charles Alexis HUIN  "Portrait de la Baronne de Mackau"

Le pastelliste Charles-Alexis Huin, né à Nancy en 1735 et décédé à Paris en 1796.  Formé à Paris, mais actif à Strasbourg de 1759 à 1783.  Là il fabrique des bâtons de pastel et les vend dans son atelier, rue du Tonnelet, près de la cathédrale. Il a été décrit comme un "élève oublié de Quentin Latour". Il peint avec talent les nobles de son époque et surtout leurs enfants.

Charles-Louis GRATIA

(1815 - 1911)
Charles Louis GRATIA  "Auto-portrait"

Gratia (Charles-Louis), peintre français né à Rambervillers (Vosges), le 9 novembre 1815, où son père s’était installé après avoir été marin sous l’Empire.

Etienne COURNAULT

(1891 - 1948)
Etienne COURNAULT

Peintre, graveur né à Malzéville (54) en 1891 et y meurt en 1948.  D'origine lorraine, il appartient avec ses amis Jean Lurçat et Jean Prouvé à la jeune génération d’artistes héritiers de l’Ecole de Nancy formés aux arts graphiques autant qu’aux arts appliqués. D’abord formé à la gravure puis destiné à une carrière de portraitiste mondain, le jeune homme se tourne vers les avant-gardes dès son arrivée à Paris en 1921.

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