Peintre d'histoire, il est né à Nancy en 1827. Il entra à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris en 1848 ou il eut pour maître Horace Vernet et Belloc. Il a figuré au Salon de Paris de 1852 à 1870, avec des portraits et des tableaux d'histoire. Le Musée de Pontoise possède de lui deux tableaux représentant chacun une jeune fille. Il obtint une Mention Honorable en 1861.
Auguste Hadamart naît à Metz, en Moselle, en 1823. Il se destine à la peinture et étudie, comme son compatriote Jean Auguste Marc, sous la direction du peintre Paul Delaroche. Auguste Hadamart expose au Salon des artistes français de Paris dès 1846. Il expose notamment au Salon« Route de Suisse » et « Chant du soir ». On lui connaît quelques scènes orientales, des portraits, des paysages et des scènes d'histoire.
Peintre, il naquit à Plombières (88) en 1824 et y décède en 1896. Il expose au Salon de 1854 une Vue prise dans les Vosges, achetée par le prince Jérôme Bonaparte. Installé en Afrique du Nord à partir de 1862, il se spécialise dans la peinture de genre d'inspiration orientale.
Il participe aux salons de Paris de 1855 jusqu'en 1869 et y expose un Bouquetier, des Mauresques, et un Pays de la soif (1866) qu'acquiert le musée d'Épinal et des paysages.
Il fut peintre de genre et de portraits et lithographe. Il est né à Nancy en 1813 et est mort atteint d'aliénation mentale à Bicêtre en 1861. Elève de Gros, il débuta au Salon de Paris en 1839 Il séjourna en Espagne de 1848 à 1852 et en rapporta de nombreux portraits du mode rural et citadin. Il illustra de nombreux ouvrages dont : Les femmes de Paris avec une suite de trente planches lithographiées. Le Musée de Mulhouse conserve de lui des dessins dont : Alsaciennes. On connait de lui : Descente de Croix en l'église St. Seurin de Bordeaux.
Frère d'Auguste Emile Flick, il fut peintre de genre et aquarelliste né à Metz au XIXème siècle. Il débuta au Salon de Paris en 1875.
Au Salon de Nancy de la S.L.A.A. de 1880 il expose un grand panneau représentant "Le Duc François de Guise saluant la cité messine qu'il va défendre (un panneau faïence, procédé sans émail) Il y est dit : "C'est un morceau décoratif d'un excellent style, d'une allure noble, d'un dessin correct et d'une exécution très ferme." En 1884 on trouvait de lui trois oeuvres dont une peinture sur faïence "Le porte-étendard"
Peintre, il est né à Saint Hubert (57) au XIXème siècle.
Il eut pour maîtres Wirtz et Portaels. Il a figuré au Salon de la S.L.A.A. de Nancy entre 1890 et 1913 avec des scènes de la vie quotidienne en Lorraine, en Picardie et en Belgique.
En 1908, il exposa un portrait au Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts de Paris.
Peintre et lithographe, il naquit à Nancy en 1818 et fut élève à l'Ecole des Beaux-Arts de Lyon de 1830 à 1836 pui de Paris à partir de 1837. Il travailla avec Orsel et H. Flandrin. Il fit ses débuts au Salon de Lyon en 1836 avec L'enfant prodigue. A Paris, il exposa Femme italienne avec son enfant en 1847 après un séjour à Rome. A l' Exposition Universelle de 1855 il présenta un pastel Le printemps. Au Salon parisien des Artistes Français de 1895, il expose deux huiles "Portrait de Mme F. D." et "La vision".
Peintre, né à Raon l'Etape en 1851, il décède à Saint Diè en 1915. Comme son père, Paul Descelles travaille à la faïencerie Muller de Raon-l'Étape, où il devient peintre sur faïence et porcelaine. Il est à Saint-Dié l'élève de Mirbeck, architecte et peintre, de Louis Gratia, peintre originaire de Rambervillers, et de Jules Adler. Lorsqu'Émile Gallé installe dans la faïencerie de Raon un atelier pour peindre ses décors sur faïence, il y engage Paul Descelles dont il reconnaît le talent. Ses portraits sur émail sont très rapidement appréciés.
Peintre d'histoire et de genre né à Metz en 1818 et mort à Nancy en 1886. Il fut élève de Maréchal et de Paul Delaroche. Il débuta au Salon en 1840 avec Le Rappel.Maréchal, alors Directeur de la Fabrique de vitraux d'art de Metz le choisit comme dessinateur. Il resta vingt huit ans dans cette ville où il fut nommé en 1864 Directeur de l'Ecole de dessin. En 1871, il opta pour la France et se fixa à Nancy où il fut conservateur du Musée municipal. Il a obtenu une Deuxième Médaille au Salon de 1852. Parmi ses meilleures toiles, on cite : Mazeppa, la fin de Solferino.