Peintre, historien, né à Saint-Dié en 1844 et décède à Nancy en 1901.
Il est le fils du garde général des Eaux et forêts Louis Étienne Save et de Sophie Julie Zetter. Ses études se déroulent au collège de Saint-Dié, puis au collège Sainte-Barbe à Paris, où il doit se préparer à une carrière de forestier. Bachelier ès lettres et ès sciences, il est admissible à l’école forestière de Nancy mais, à Paris, il a fréquenté les peintres et le musée du Louvre. Il s’installe à Paris et devient artiste peintre.
Peintre, aquarelliste, graveur à l'eau forte, il est né à Commercy en 1858 et meurt à Angers en 1944.
Elève de Gratia, Jules Voirin et de Gaston Henry, il avaikt la passion des arts sous toutes les formes, mais devint d'abord pharmacien. Durant ses études, il fréquenta brièvement l'Ecole Municipale et Régionale des Beaux-Arts en 1882 et 1883. Il subit l'influence de Victor Prouvé, d'Emile Friant et de Charles Meixmoron. Il figura sur la liste des membres de l'Ecole de Nancy. Il fut également membre de la Société Lorraine des Amis des Arts de 1892 à 1912.
Peintre d'histoire, de portraits et aquafortiste, il est né à Nancy en 1615 et meurt à Paris en 1672.
Élève de Jean Le Clerc, maître lorrain, Nocret entreprend un voyage à Rome. Sur place, il rencontre Nicolas Poussin et exécute des copies pour monsieur de Chantelou. De retour à Paris en 1644, il est nommé en décembre 1649 peintre du roi, valet de chambre du roi, et peintre du duc d'Orléans, et se fait vite connaître comme un grand portraitiste.
Graveur et dessinateur, né à Metz en 1915, il meurt dans cette ville en 1981. Fils d’un père amateur de dessin et de peinture, Claude Mallmann passe son enfance dans l’atelier familial d’encadrement. Il participe dans sa jeunesse à la revue messine « Préludes », de 1933 à 1936.
Peintre et graveur, il est né à Pont-à-Mousson (54) en 1922 et mort en Bretagne le 21 juin 2012,
Fils de Pierre Marage, préfet du Morbihan, Roger Marage est l'aîné de trois fils. Attiré par la peinture et la gravure, il entre à l'École des beaux-arts de Rennes où il a pour professeur Mathurin Méheut. Il intègre l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris 5 le 6 novembre 1946, où il retrouve quelques condisciples de Rennes : Dauvergne et Guillaumel, entre autres.
En 1947 il débute sa carrière d'enseignant dans cette même école où il travaille jusqu'en 1982.
Graveur né à Metz en 1637, il meurt à Paris en 1714. Fils unique d’un orfèvre messin, il est un véritable enfant prodige, et manie le burin dès l’âge de 7 ans. Cette extraordinaire précocité fut remarquée par le prieur de Saint-Arnould, qui se soucia alors de son éducation. Suivant une légende apocryphe, il aurait été aide de cuisine de cette abbaye, et même plus tard cuisinier à Metz, comme quelques années auparavant Claude Gellée avait été apprenti pâtissier à Toul.
Peintre et graveur, il est né à Nancy en 1873. Il fut élève de Larcher et de Gustave Moreau. Il a figuré au Salon de Nancy de 1892 à 1900 avec des portraits, des scènes de genre (Solitude, Repos, Une visite...), des paysages (La Meurthe à Bosserville, Soir d'automne, La Meurthe aux Grands Moulins, le soir..), des sujets militaires (1895). Comme graveur, il fit surtout des eaux fortes en couleur. Il a exposé au Salon de Paris à partir de 1910, en 1914, il propose une eau forte "La leçon de clavecin".
Peintre et graveur, il est né à Dainville-Bertheleville (55) en 1905 et meurt à Versailles en 1977. La Première Guerre mondiale le trouve à Amiens, puis son père étant de retour dans la Meuse, il fait, de 1918 à 1924, des études brillantes au lycée deBar-le-Duc qu'il quitte bachelier. Son avenir oscille alors entre la philosophie, l'histoire et le dessin. Finalement, c'est sous l'impulsion de son professeur de dessin, M. Philbert, qu'il choisit cette dernière discipline.